歌詞

Ouais… Minuit à Tokyo

Fumée, billets, poudre en haut

L’amour est faux, le péché vrai

Bienvenue dans l’enfer discret

Yoshiwara, Yoshiwara, la nuit ne ment pas

Plaisir et douleur brillent, tout s’efface là-bas

Lignes au miroir, esprit noyé

Plus je tombe, plus la nuit est dorée

Yoshiwara, Yoshiwara, l’appel du démon

Le piège le plus doux — le plus profond

Le démon blanc dit « Vole »

Pas de retour une fois la ligne frôle

VIP, la basse qui cogne

Poudre blanche, mensonges qui sonnent

La diablesse dit « Une ligne de plus »

Rail de neige, je perds ma lumière douce

Accroupi, je sniffe la neige

Chaque trait brûle, rien ne protège

Champagne et Charlie dans la nuit

Retour impossible, j’ai franchi

Néons brillent, sourires mensongers

Benz noire, ombres mélangées

Corps et lèvres, des pièges doux

Ton âme vendue, l’argent est tout

La fumée cache des murmures

L’amour est mort, la ville est dure

Lèvres sucrées, arme cachée

La nuit m’avale, âme arrachée

Yoshiwara, Yoshiwara, la nuit ne ment pas

Plaisir et douleur brillent, tout s’efface là-bas

Lignes au miroir, esprit noyé

Plus je tombe, plus la nuit est dorée

Yoshiwara, Yoshiwara, l’appel du démon

Le piège le plus doux — le plus profond

Le démon blanc dit « Vole »

Pas de retour une fois la ligne frôle

Jupe qui danse dans le noir

Regards tordus, loi illusoire

Neige qui brille sur le verre

Un corps offert pour un enfer

Les hommes fixent comme des fusils

Orgueil, désir — doux périls

Faux amour, même marché

L’argent efface les noms cachés

Lumière glisse sur la peau nue

Chaque rail me tire dessus

Sur le lit mon âme se perd

La poupée rit, mon trône se perd

Talons cassés sur le sol froid

Péché collé derrière le bois

Les visages fuient avant le jour

Restent les cendres de l’amour

Yoshiwara, Yoshiwara, la nuit ne ment pas

Plaisir et douleur brillent, tout s’efface là-bas

Lignes au miroir, esprit noyé

Plus je tombe, plus la nuit est dorée

Yoshiwara, Yoshiwara, l’appel du démon

Le piège le plus doux — le plus profond

Le démon blanc dit « Vole »

Pas de retour une fois la ligne frôle